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En poursuivant la réflexion, on peut également effectuer un parallèle entre la mort du bébé dans le film (le fils de LUI, donc le fils de Dieu), tué et mangé par les hommes, et la mort de Jésus dans la Bible (prenez, mangez, ceci est mon corps). Cette réflexion autour de la notion de création et d’artiste peut, bien sûr, facilement s’étendre au réalisateur lui-même, qui a certainement dû susciter/rechercher ce type de réaction au cours de sa carrière. La relation entre Dieu et Mère-nature est doublée par cette relation entre le poète et son inspiration (c’est d’ailleurs explicitement dit dans le film). Je me permets néanmoins d’ajouter mon grain de sel. J’ai du mal à comprendre comment on peut trouver que ça s’imbrique mais pourquoi pas. Avec Mother!, le cinéaste revient à un cinéma moins consensuel. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Pour le reste, je suis en revanche totalement d’accord. Encore plus quand on s’intéresse scrupuleusement au personnage de Jennifer Lawrence. Si tu veux développer, n’hésite pas en tout cas ! Vous semblez être passé un peu à côté, alors que c’est mon interprétation la plus forte. Mother ou Mère au Québec (hangeul : 마더 ; RR : Madeo) est un film dramatique sud-coréen écrit et réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009. Mais comme tu l’as dit, le film mérite qu’on s’y attarde même s’il n’est pas exempt de défauts. Surtout l’emballement démesuré de la fin, dont je n’avais pas compris la volonté du réal. Vous pouvez avoir pl… Le film Mother (Corée du Sud, 2009) du réalisateur Bong Joon-ho a été diffusé lors du 25e Festival International du Film de Fribourg dans le cadre d’un panorama dédié à la figure de la femme dans le film noir. En effet, “le Poète” garde caché les enfers (la cave) à “Mother” alors que lui en a connaissance. Vous avez d'autres explications ? Je crois que les trois interprétations que tu as citées sont celles qui ressortent le plus. Être touché par la Grâce après sa vision ? Si l’on se fixe sur le personnage de Jennifer Lawrence, on a : Ce pourrait aussi être la liaison de la luxure (ou de la sexualité) qui est un péché, avec la vie et sa création, car Mother EST la vie comme le dit Javier Barden dans la scène finale. On voit finalement que Mère-nature a plus de jugeote que Dieu lui-même (le film est plus grand que son réalisateur ? L’enfant conçus étant bien une personnification de Jésus, j’avais peux de doutes sur la personne de Marie dans le rôle de “Mother”. La symbolique de la maison qui brûle, et marque grièvement Mother en égratignant à peine le Poète, montre les séquelles qu’a laissé cette relation sur Mother. Laissez donc un commentaire ! SOUVENIRS D'UN MEURTRE. Le second niveau de lecture, relativement évident lui aussi, est lié à la création au sens large. Page 1 : Résumé rapide du film (ci-dessous) De plus, il y a un lien intéressant à faire entre l’influence de MOTHER sur LUI et celle de Jennifer Lawrence sur le réalisateur. Le premier, peut-être le plus évident, est directement lié à la religion, et plus précisément à l’histoire biblique. Actualités 11.12.2020 à 17h02. Cette interprétation n’étant volontairement pas exhaustive, beaucoup de zones d’ombre qui subsistent à l’issue du visionnage n’ont pas forcément été abordées. Comme s’il était dépassé (critique de Dieu face à la situation de la planète), comme l’artiste qui est dépassé par son oeuvre. “Le Poète” résiste aux Flammes “Mother” mélange se soufre à un autre élément : l’eau. En effet, la question de la fécondation (qui devrait être le summum de la pureté) qui s’accomplie dans un acte de luxure est très présente dans l’étonnement philosophique ou même artistique. Un couple sans enfant vis dans une grande maison isolée du reste de la civilisation. demeure selon moi bien trop flou sur le fond, au contraire par exemple de sa forme qui séduit pratiquement de bout en bout. Sur la forme, on monte progressivement en intensité et en démesure, comme pour Requiem For A Dream, The Fountain et dans une moindre mesure Black Swan. ( Déconnexion /  On ne sait pas grand-chose à son sujet, si ce n’est qu’elle arrête de le prendre une fois enceinte, et que la situation se dégrade ensuite rapidement. Suffisamment dailleurs que pour me donner envie de lui consacrer un article entier dinterprétation. Il a été présenté en compétition dans la sélection Un certain regard au Festival de Cannes . est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. Trois ans après le "blockbuster" religieux Noé, Darren Aronofsky est de retour avec un film plus personnel, Mother!, porté par une sacré brochette de comédiens : Jennifer Lawrence et Javier Bardem dans les rôles principaux, mais aussi Ed Harris, Michelle Pfeiffer, Brian et Domhnall Gleeson et Kristen Wiig. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Page suivante : La création à tout prix ? Et je tiens également à préciser que pour moi, le regard biblique qu’a le film a été très, TRÈS marqué. Changer ). Effectivement très bon commentaire de la part de tous, et le film apporte vraiment de bon débat, les cerveaux chauffent, et c’est ca le principale. Quand au film en général les critiques faites par l’article sont plutôt satisfaisante. . C’est d’ailleurs aussi le rôle du cinéma, et même de l’art en général, d’inviter à la réflexion. Nous vous conseillons évidemment d'avoir vu Mother! Même si Darren Aronofsky donne une vison “très sombre sur notre monde”, certaines scènes montrent cet espoir: la scène où la maison se régénère, la scène où un policier tente d’évacuer Mother, les nombreuses scènes où “Lui” tente de protéger Mother, la scène où Mother est émue après avoir lu la création de “Lui”. ), c’est quoi le message ? Tout repart bien sûr très vite en vrille, avec l'arrivée de la famille du défunt, puis celle de fans de l'artiste. _ il n’est pas capable de protéger son oeuvre ou sa création de toutes ses créatures qui entrent dans son monde, avec sa bénédiction, car il n’arrive pas à dépasser une compassion qui en devient risible (il n’a aucune réaction négative à la mort de son fils). À 28 ans, il est loin d'être indépendant et sa naïveté le conduit à se comporter parfois bêtement et dangereusement ce qui rend sa mère anxieuse. La phrase choc du film synthétise tout ça : tu pensais m’aimer, mais tu aimais mon amour pour toi. Bien sûr tous les arguments si dessus pourraient être retournés vers un côté plus positif du personnage comme beaucoup le vois. Dans cette interprétation, LUI peut être perçu comme Dieu, un être suprême ayant la capacité de créer : MOTHER elle-même, une maison, un enfant… Une approche qui devient encore plus claire avec l’arrivée des différents intervenants. Très bonne Analyse. ATTENTION ! On en avait déjà un peu discuté mais je suis tout à fait d’accord avec toi, l’ensemble manque aussi selon moi de cohérence et de subtilité. Un couple voit sa relation remise en question par l'arrivée d'invités imprévus, perturbant leur tranquillité. Ma critique sera en ligne la semaine prochaine et si cela te convient, je mettrai un lien vers ton article pour les personnes qui souhaitent une analyse plus détaillée . Thriller (Memories of Murder), film de monstre (The Host) ou mélo familial (ce Mother), le Coréen magique Bong Joon-ho s'est fait une spécialité dans le bouleversement des genres, codes revisités et maltraitance des règles.Mais le genre importe t-il tant que ça dans son cinéma? ( Déconnexion /  Elle met beaucoup de temps à la construire, seule d’ailleurs, par amour. God impregnates Mother, who gives birth to the Messiah, who is followed by an increasingly chaotic communion and Revelations. _ un poète qui sèche pendant longtemps dans le film, stérilité que l’on peut relier à des réticences à être père, comme s’il n’assumait pas complètement les responsabilités que cela implique. On se retrouve du coup devant un film, certes prenant, mais terriblement confus. Souvent destiné un public jeune, le cinéma coréen traite aussi de grands sujets de société et produit des films dur comme l'incontournable Quelques arguments bonus : Mother brûle la maison avec le briquet qui avait été posé par le 1er invité (début de la perturbation du couple), briquet qui avait d’ailleurs été ingurgité par la maison, jusqu’à faire son chemin en son cœur. Or, elles existent bel et bien. Mother!, c’est le cycle infernal de la gestation. Jusqu’où une mère peut aller pour protéger son enfant ? J’en parle d’ailleurs plus longuement dans ma critique. Elle, est l’Inspiration qui construit un monde protecteur (la maison) pour Lui, l’artiste créateur. Cinéma Coréen, une liste de films par Zoreilfilm : Synopsis : Une veuve élève seule Do-joon, son fils unique, qui est sa seule raison d'être. Une fois la naissance faite, le public attend de contempler son oeuvre-enfant et le consommer, Comme le dit Tarkovski à propos du cinéma, une fois le film créé, présenté et donné au public, l’artiste est dépossédé de son oeuvre et le film aura une vie independante car apprécié et interpreté selon chaque spectateur. La maison est tout à la fois l’antre du créateur et la projection d’un ideal sécurisant pour la femme, un lieu dans lequel elle s’incarne, comme un double d’elle-même même et dont l’image constitue le reflet de son état. Je trouve que tout s’imbrique dans le sens où l’on peut relier les différents personnages. Puis Caïn tue Abel, laissant une marque sanglante (celle du premier meurtre, donc du péché) sur le sol. « Ils nous tuent dans le commerce, vous savez, puis ils remportent l’Oscar pour un film flippant ! Film « catasdrôle » Le cinéma coréen se porte bien. Une veuve élève son fils unique Do-joon qui est sa seule raison dêtre. Les choses virent littéralement au cauchemar, et lorsqu'elle accouche, Mother voit son bébé confisqué et tué par des gens ayant pris pris possession de la maison. La deuxième interprétation est celle d’un éveil à la sexualité/la luxure pour Mother. Comme vous l’expliquez le cycle se répète et l’homme recommence jusqu’à que le cycle s’arrète. Même si j’ai apprécié certains aspects du film, je le trouve aussi extrêmement fourre-tout. Certes, individuellement, il s’agit de thématiques relativement riches mais leur association dans ce film manque, à mon sens, cruellement de cohérence et de pertinence. Mother (Jennifer Lawrence) se réveille. Critique et bande-annonce VOST de I AM MOTHER avec Clara Rugaard, Hilary Swank et Rose Byrne, disponible sur Netflix le 7 juin 2019. Au final Aronofsky écrit un film relatant le mécanisme, la fondation et la structure universelle, sur laquelle la vie de chacun va pouvoir y être projeter, que c soit du vécu réel, du fantasme, de l’art, tout peut être incruster dans cette seule et unique histoire, dont la forme ne changera pas. Tout au long du film, les intervenants vont contribuer à sa destruction, s’appropriant les lieux, souillant les murs, cassant des objets, se rendant dans des endroits interdits… Plus ils sont nombreux, plus les comportements sont intolérables, et plus les dégâts sont importants. C’est l’histoire d’un père de famille qui se fait kidnapper dans les années 80 et relâché 15 ans plus tard, sans explication. Au détour de quelques séquences, nous apprenons que MOTHER a complètement réhabilité la maison après un incendie, tandis que LUI est un auteur à succès en panne d’inspiration. . Mother! Elle boit le mélange jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte : la vie est crée ! Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Vos analyses sont passionnantes. Long-métrage d'horreur sud-coréen, Arang (Ahn Sang-hoon, 2006) nous propulse au milieu d'une enquête policière prise en main par la détective So-young et son jeune partenaire, Hyun-ki.En découvrant une affaire sur plusieurs meurtres étranges liées à la mort d'une mystérieuse jeune fille de dix ans, les deux policiers débarquent dans un petit village que l'on dit hanté. Bonjour, merci pour cet article ! Effectivement, en se rangeant à ce niveau de lecture, la plupart des plans qui composent le film ont du sens, en particulier le final. Voilà. La notion du pardon par exemple, de la famille, on les retrouve partout, et en chaque époque, et dans chaque peuple, l’homme se bat surtout sur les formes, ou la manière dont on les pratiques, mais dans le fond, on est tous semblable, et ont fonctionnent tous sur le même schéma. Un fanatisme dont la portée peut être terriblement aveuglante pour les artistes, ceux-ci recherchant parfois désespérément toute forme de reconnaissance. D'autres pistes de réflexion ? Ton interprétation a toutefois complètement sa place ici. “Le Poète” ne demande que l’admiration des Hommes et les laissant faire les pires pêché ( Forte présence des 7 péchés capitaux). La destruction de la pierre, quant à elle, n’est rien d’autre qu’une symbolique du fruit défendu, à laquelle on pourrait d’ailleurs ajouter le bureau comme Jardin d’Eden (avec l’arbre du savoir). . (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d’art l’attend et le cycle créatif recommence. La maison symbolise la relation, portée quasi entièrement par Mother. au Québec est un film d'horreur psychologique américain écrit et réalisé par Darren Aronofsky, sorti en 2017. Très belle analyse! Dans le film, On peut aussi voir un aspect diabolique dans “le Poète”. Pour rappel : SPOILER ALERTE, Mother!, c’est l’histoire d’un couple qui mène une vie pépère dans une baraque paumée. Il y a un côté très sectaire autour du poète (Fanatisme) plus que religieux. C’est la question à laquelle Bong Joon-Ho tente de donner une réponse à travers son film Mother qui marque un point dans le drame coréen actuel. Apocalypse ou pas, la Corée du Sud, dans sa version « ciné », ferait peur à Trump himself ! Après, chacun est libre de vivre l’expérience qu’il souhaite. Je pense que le réal veut expier le mal qu’il a pu faire à ses ex sans le vouloir. Il demande une dernière chose à Mother, son amour et c’est cet amour qui permet d’effacer/oublier toutes les violence passées. “I will never answer what Jen is drinking,” said Aronofsky. C’est le premier spectacle de Mother, cette énergie surhumaine, ce feu sacré brûlant dans un corps aussi chétif, aussi fragile que celui d’une actrice (Kim Hye-ja, abonnée aux rôles de mères pour la télévision coréenne) âgée de soixante-dix ans. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui lon doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! Il n’a pas d’amour. Le couple se retrouve de nouveau seul. Le monde a la capacité de retourner à l’état primitif. S’agit-il simplement d’un élément destiné à troubler le spectateur (après tout, ce ne serait pas le premier) ou se pourrait-il que MOTHER soit malade et souffre de visions/hallucinations (auquel cas cela pourrait remettre en cause l’ensemble du récit) ? Je trouve juste dommage que le tout ne soit pas très subtile, le film aurait peut-être gagné en qualité. Bonjour ! Il survit à l’incendie sans une égratignure, car le feu est son élément. Action qui entraîne la restauration de toutes les pièces d’une maison. C’est tout l’intérêt du billet. Moi j’ai pas compris le truc bizarre plein de sang retrouvé dans les toilettes par Mother suite au passage de “Eve”.. Il faut aussi souligner que le réalisateur est en couple avec Jennifer Lawrence, ce film peut donc se voir comme un message personnel pour elle. L’amour (sous forme de louanges) qu’il reçoit pour son œuvre passe ainsi avant son amour pour sa femme. Watch Korean Drama genre from around the world subbed in over 100 different languages Lorsque Dieu bannit Adam et Eve du jardin d’Eden, il voue Adam à une vie rude pour gagner son pain (peut-être est-ce pour cela que celui-ci est très souvent pris de quintes de toux dans le film) et Eve à un accouchement dans la douleur, d’où la vision d’un sexe féminin en sang. A titre personnel, je dois reconnaître que j’ai une préférence pour la dernière interprétation qui, au-delà d’être la plus subtile, est également la plus solide sur la longueur. Si les pistes vous inspirent il y a encore des fils à tirer…. Page 4 : Explications de la fin du film Tout d’abord merci pour la critique, Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. Si LUI trouve dans cette arrivée une véritable bouffée d’oxygène, MOTHER est au contraire perturbée par leur intrusion. Nous vous proposons ci-dessous une analyse complète du film et de ses nombreux thèmes et messages cachés. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). Concernant le cristal, je pense qu’il peut symboliser la vie, comme “Lui” le dit clairement à la fin. Je pense que Lawrence est mère nature/l’inspiration, et que de même ces deux facettes ne peuvent vivre l’une sans l’autre. On défend tous les mêmes valeurs, mais elles ne passeront jamais par les mêmes forme ou nomination, par rapport à la vie, l’éducation que l’on a eu. Rapidement, leur vie tranquille est interrompue par l’arrivée d’un vieux couple, L’HOMME (Ed Harris) et LA FEMME (Michelle Pfeiffer). Se poser des questions n’a jamais empêché d’apprécier toutes les composantes d’un film. Vous dites que vous ne comprenez pas pourquoi la tache de sang formée sur le sol à la suite du meurtre d’Abel prendrait la forme d’un vagin. 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Dans cette interprétation, la maison et MOTHER (sorte de mère nature) constituent une métaphore de la planète. Mais cela peut-être vu aussi de manière plus optimiste : le cycle se répète et peut-être qu’une fois, le cycle se déroulera correctement. https://oblikon.net/analyses/mother-explications-du-film-et-de-la-fin On ne sait alors pas encore s'il s'agit d'un retour en arrière dans le temps ou autre chose, mais on sent bien que quelque chose d'un peu spécial tourne autour de ce couple et cette maison. Avec la symbolique finale : pour qu’il puisse reconstruire, il lui arrache le cœur, l’achevant. En deux films, "The Chaser" (2008) et "The Murderer" (2011), Kwak Do-Wong est devenu une valeur sûre du cinéma sud-coréen. Facebook Twitter Pinterest Linked in Tumblr Reddit Facebook Messenger Copy URL. (Mais très attachants) « … Et : ils en ont de bonnes, hein ?… Bon, j’arrête ! Il met en tentation Adam en lui montrant le cristal. Ou plutôt de décryptage car le long-métrage demeure au final bien trop dense (dans ses thématiques par exemple) que pour se risquer à une explication catégorique. Dans le même temps, Mother commence à ressentir des choses bizarres, comme des étourdissements, et une fissure ensanglantée plutôt étrange apparait sur le plancher. Furieuse, MOTHER incendie la maison pour exterminer ses occupants. Une thématique omniprésente représentée de différentes façons dans le film : la création artistique (rédaction d’un ouvrage), la création d’une vie (naissance d’un enfant), la création matérielle (construction d’une maison)… Plus que la création en elle-même, le réalisateur s’intéresse ici surtout à ses conséquences sur son créateur et sur les personnes qui l’entourent. Les excès s’accumulent en ce personnage animé d’un amour indéfectible et exclusif pour un fils qu’elle maintient en état de dépendance totale (elle pense pour lui … L’intrigue, empreinte de noirceur, offre du suspense et de nombreux rebondissements. La maison renait de ses cendres et dans le lit, une jeune femme se réveille, une jeune femme avec un autre visage. L’EXPLICATION. Enfin, le troisième niveau de lecture, plus subtil celui-là, est lié à la planète, et plus précisément à son exploitation destructive par l’humanité. J’ai adoré J’ai trouvé ça plutôt cohérent, même si je n’ai pas encore trouvé d’explication sur la poudre jaune et sur le truc ensanglanté qui finit dans la chasse d’eau des toilettes. Il a besoin de l’amour de “Mother”. Je suis d’accord avec vous sur le fait que le film exprime peut-être trop de choses en même temps et pas forcément de la bonne manière. Bien sûr, il est nécessaire qu’une œuvre, quelle qu’elle soit, puisse conserver une certaine ambiguïté, mais il me paraît tout de même indispensable qu’elle puisse également offrir des clés d’interprétation viables pour être appréciées. Impossible de le dire avec certitude malheureusement, mais quand on connaît la propension de Darren Aronofsky à traiter des troubles psychologiques dans ses films, on peut se dire que l’idée n’est pas complètement farfelue. Les thématiques étant nombreuses, et le propos relativement complexe, plusieurs niveaux de lecture peuvent être dégagés. Il serait très intéressant de pouvoir avoir une discussion avec le réalisateur car toute hypothèse est viable …. L’histoire : Soo-hyun, jeune agent des services secrets sud-coréen, se lance à la poursuite du tueur en série qui a tué sa fiancée alors enceinte, avec en tête un plan de vengeance aussi diabolique que l’est le criminel avec ses victimes. Une fois son oeuvre-enfant « consommée », l’Inspiration, désormais inutile, préfère, comme une femme désespérée, se détruire et disparaitre elle-même par le feu: Il ne restera plus d’Elle que des cendres de souvenirs… La Corée du Sud est un grand producteur de Cinema et ses films remportent des succès internationaux comme la récente Palme d'Or de Cannes remportée par le film Parasite. Régulièrement à Cannes toutes sections confondues, le Coréen Bong Joon-Ho a remporté la Palme d'or samedi 26 mai avec "Parasite". Film asiatique : The Flu, Année : 2013. Page 3 : Une métaphore sur le monde et l'humanité Selon moi, Mother est la représentation féminine de Dieu. C’est ambitieux, certes, mais l’ensemble manque cruellement de cohérence. World War Z, c’est peut-être la prochaine guerre mondiale. Cette analyse a été rédigée à chaud, après quelques échanges avec d'autres spectateurs.Il y a surement encore plein de choses à dire sur le film et vos contributions sont les bienvenues.

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