27)115. 32). 1 – L’ANTIQUITÉ ET LE REGARD CONTEMPORAIN. III : numéro 522 planche 18.11 (aureus de 111 présentant la colonne sur une base circulaire percée d’une porte avec les deux aigles et la couronne de chêne, le fût lisse et la statue de Trajan) ; numéro 445, planche 16.20 (sur ce denier de 111, la spire apparaît mais pas la base) ; numéro 454, planche 17.1 (denier de 111 avec la spire indiquée) ; numéro 565, planche 19.11 (la spire n’est pas indiquée) ; numéro 667, planche 21.16 (la spire n’est pas indiquée) ; p. 213 numéro 1004 et 1005, planche 40.1 et 2 (la spire n’est pas in diquée) ; numéro 1015 planche 40.11 (la spire n’est pas indiquée) ; p. 218 numéros 1024 planche 41.6 (la spire n’est pas indiquée) ; p. 219 numéro 1028 planche 42.3 (la spire n’est pas indiquée). Or, les reliefs étaient, dans l’Antiquité, fortement contrastés. D’autres monuments trajaniens témoignent de cette pratique63. Ammien Marcellin utilise, lui, le terme de vertex qui a le double sens de « tourbillon » et de « sommet »46 : « les hautes colonnes à spirale, dressées sur des plates-formes (suggestum) que l’on peut escalader47, et portant les statues des anciens empereurs ». Publié : 23 Août 2010 16:07 . La perpendiculaire à cet axe horizontal est donnée, sur la pl. Vitruve, VI, 4, 5, fait référence aux simulacra nés des reflets dans l’eau. Il est, très normalement, fixé sur un support posé au sol à la perpendiculaire de cette base, donc face au spectateur. 38 – Schéma des conditions de visibilité de la frise. Les activités, judiciaires ou autres, qui prenaient place dans la Basilica favorisaient ce genre de comportement, ainsi que l’atteste Vitruve : 86Le pluteum, qui prendra place entre les colonnes supérieures et les colonnes inférieures [à l’intérieur des basiliques], semble devoir être, de la même façon, réduit d’un quart par rapport aux colonnes supérieures, afin que les promeneurs du déambulatoire, à l’étage de la basilique, ne puissent être aperçus par les négociants [installés à l’intérieur]153. Elle est célèbre pour le bas-relief qui s'enroule en spirale autour de son fût et commémore la victoire de l'empereur Trajan sur les Daces lors des deux guerres daciques (101-102 et 105-106). 38) à la base de la spire 12, légèrement au-dessus des 15,10 m de hauteur des terrasses envisagées par James Packer. No Christian tombs or cemeteries were found on the island, with the exception of merely six crypto-Christian tombstones with pagan inscriptions. Si l’on observe de plus près le vocabulaire employé, on s’aperçoit que Pline utilise à plusieurs reprises, pour décrire les marbres blancs, des qualificatifs liés à la lumière. 158 Turcan 1995, p. 153, remarque également l’augmentation irrégulière de la taille des spires. OpenEdition est un portail de ressources électroniques en sciences humaines et sociales. 1:15:41. Sur la question du public et de la culture : Salles 1992, p. 189-219. 80En dépit des incertitudes, un fait demeure : l’observation verticales des reliefs, depuis le sol ou depuis les terrasses, est la seule crédible. Cela améliorerait certes les conditions de visibilité des spires hautes, mais ne concernerait jamais qu’une face156. There is no clear evidence to suggest the presence of Christianity in Cyprus during the first three centuries AD. 28 Nous renvoyons à Scheid 1990, p. 70, pour l’analyse de ces inscriptions et de celles des Arvales : « [...] les inscriptions [des Arvales] ne pouvaient être lus que par les desservants du sanctuaire, et appartenaient à dea Dia comme tous les autres objets qui se trouvaient dans le lucus : on pourrait conclure, en somme, que graver des fastes et des commentaires sur la propriété de la déesse revenait non seulement à l’informer, elle aussi, de la bonne exécution du culte, mais à lui reconnaître comme un droit de propriété sur les rituels des arvales », et Scheid 1997, p. 102-104 (sur les stèles des Jeux Séculaires) : « On peut même supposer que les quindécemvirs n’ont rédigé de commentaire que sur l’ordre du Sénat. Eu-trope donne une altitude de 144 pieds : « Ses cendres, placées dans une urne d’or, furent installées dans le Forum qu’il construisit, sous une colonne ayant cent quarante-quatre pieds de haut »43. 28), il s’avère que ce sont les deux faces cardinales du monument : la première (SE) montrant le début de l’affrontement entre Daces et Romains, la seconde (NO) la victoire et la romanisation qui suit. ... Borba Grka i Amazonki, Skopas, frise du Mausolée d’Halicarnasse, 350 av. Il serait en effet logique que les spires 18 à 23, de par leur situation, aient bénéficié d’une augmentation notable de hauteur. Or, un des arguments présentés par les tenants de la non-visibilité, et pertinent à nos yeux, renverse précisément ce critère : l’étroitesse de la place interdit en effet, au niveau du sol, un recul permettant d’ouvrir le champ visuel et de mieux distinguer les reliefs116. 35 Ibid., p. 546-547, avec l’exemple discuté du Rouleau de Josué. Et cet aménagement peut sans doute être compris comme une amélioration des conditions de vision : le prototype (la frise trajanienne) ayant révélé à l’usage des limites optiques, le concepteur de la colonne aurélienne aurait compensé cet échec relatif en « supprimant » deux spires (déjà secondaires sur la colonne Trajane : l’empereur n’y figurait plus ; au contraire Marc Aurèle est encore présent spire 21), augmentant par là les dimensions des spires conservées143. A l’aide des dimensions de la place (9 et 7 mètres), du descriptif architectonique de la colonne Trajane livré en Introduction129, du relevé des blocs du fût (fig. Face E, pl. Stucchi 1989, p. 254 figure 8, livre une reconstitution des terrasses à 14 m de hauteur. Le premier paramètre est bien sûr rempli. Depuis les terrasses, cette limite minimale touche, avec le respect de la distance, la spire 18 (fig. En se basant sur la description d’une campagne de Marc Aurèle dans l’Histoire Auguste, Robert Turcan a avancé l’interprétation suivante. Sur la fausse perspective des décors de théâtre, lire le commentaire à Vitruve, De Arch. 172 Commentaire dans Chamay-Frel-Maier 1983, p. 22 ; excellente reproduction de Turcan 1995, p. 142 figure 172. Il est révélateur que le premier complexe urbanistique élevé dans l’Urbs sur ce principe soit le théâtre de Pompée74. Il y eut, par rapport à la colonne Trajane, transformation des structures de la frise par le choix d’un haut-relief et le nombre plus restreint de spires, qui passent de vingt-trois à vingt-et-une, enfin par l’installation d’une base plus élevée que celle de la colonne Trajane51. La localisation de ces imagines clipeatae sur le Forum est certaine165, mais un dispositif particulier ressort de l’examen des portraits : Fig. 32 – Schéma des conditions de visibilité de la frise. LXXIIa)38. Ce ouvrage présente les 140 scènes de la frise avec leurs description Topics: Trajan's Column (en), Colonne trajane, [ SHS.ARCHEO ] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory Cette glose correspond-elle à la raison première du surnom, ou s’est-elle substituée à une harmonie première sentie entre la surface du marbre blanc et la lumière, ce que semble malgré tout perpétuer le qualificatif de « lychnite »107 ? qui marque l’entrée dans la cinquième campagne (Trajan n’est cependant pas loricatus). 112Si l’on découpe la frise non plus en campagnes spirales mais en faces verticales, on constate le même découpage. La colonne Trajane paraît donc, aux yeux des observateurs contemporains, un échec : aujourd’hui comme dans l’Antiquité, les conditions de visibilité semblent être identiques car liées aux caractéristiques de la frise historiée. Au contraire. Souhaitant aménager dans sa villa d’Arpinum une vue agréable sur son jardin, il reçoit les conseils de son architecte grec Cyrus : En critiquant l’étroitesse des fenêtres, sache que tu critiques la ‘Cyro-pédie’. Ministère de la maison de l'empereur et des beaux-arts. 99). Mémoire d’un rite religieux, réceptacle en cela de la pietas romaine, elles témoignaient de la précision scrupuleuse des rites par la précision scrupuleuse du texte gravé. 4)130, il est possible de proposer un schéma théorique des conditions de visibilité de la frise (fig. Là, il voit le fils d’Ilia (Hinc videt Iliaden...) portant sur les épaules les armes d’un chef et les actions retracées au-dessous des statues alignées des héros. 180 En 78 avant J.-C. : Croisille 1985, p. 138 note 13.1. En soutenant que l’étroitesse de la place est destinée à rapprocher le spectateur antique de la frise, on exclut la possibilité d’ouverture du champ visuel et le souci d’axe du cône optique. Les catégories ne sont donc pas aisées à délimiter et le constat vaut, à notre avis, pour la colonne Trajane. 23Nous retrouvons la fonction funéraire et la grande hauteur chez Cassiodore : « Ses os furent placés dans une urne d’or sous la colonne du Forum qui porte son nom. La problématique est bien « la pluralité de modes de réception des images et le caractère très concret de cette réception »5, ce qui recoupe nos préoccupations. La spire 7 était alors aisément visible depuis les terrasses de la Basilica, situées à six mètres à peine, et supportait une hauteur de spire moins importante. 178 Voué par Appius Claudius Caecus en 296 avant J.-C. (Croisille 1985, p. 138 note 12.3). 94En revanche, les spires 7 à 10 sont, au SE, d’une taille moindre. 193 Face SE, spire 14, sc. 140 Nous entendons par « aire préférentielle » la combinaison d’une distance et d’un angle réduits. La colonne Trajane (en latin : Columna Traiani) est une colonne triomphale romaine située sur le forum de Trajan à Rome.Elle mesure 40 mètres de hauteur. 116L’époque suivante, du principat d’Auguste, a donné lieu à de nombreuses recherches. CLXXXV. Ici, il voit Énée (Hinc videt ænean...), chargé de son fardeau sacré et tant d’aïeux de la dynastie des Iules. deux ?). Les deux têtes présentent à l’arrière de grandes cavités nécessaires au logement de goujons, qui par leur position laissent supposer une inclinaison des fragments vers le bas ; d’où l’hypothèse que les têtes devaient appartenir aux « boucliers » avec portraits qui décoraient diverses parties du Forum166. Enfin, Coarelli 1996, p. 10, décrit la frise de l’Érechtéion : « Si tratta, come è noto, di un fregio costituito da figure staccate di marmo bianco, fissate su un fondo di marmo blu di Eleusi ». XXXIIb et XXXIV : spire 15, une scène de labor en tunique, puis le sacrifice devant le pont d’Apollodore ; cette thématique est prise entre : spire 12, l’adlocutio des soldats en tunique ; spire 13, le sacrifice avec des togati et des soldats en tunique ; spire 14, au sacrifice avec les Daces succède un labor (en Mésie) où les soldats romains ne sont pas armés. 62 Schuhl 1933, p. 30. IXb, spire 14. Il faut donc distinguer conditions de visibilité et statut accordé à l’objet observé : s’il est observable, mérite-t-il de l’être ? Les spires 12 à 18 sont incluses dans le cône de référence, mais la distance séparant l’observateur de la frise augmente (ici bien sûr sans possibilité de la réduire en se rapprochant) de un à deux mètres, ce qui diminue d’autant la visibilité. Le niveau de sol, on l’a dit, favorisait la vision des spires 1 à 6 : vision épitomique pour un spectateur pressé, qui percevait l’équivalent des premières et secondes campagnes en continu et disposait d’un résumé des guerres daciques151à la manière d’un abrégé historique. Barbare. 69Le champ visuel de référence peut aussi être calculé à partir de la vision à mi-hauteur (fig. Tous deux avaient participé à un acrobatique examen de la frise, et G. Semper avait décrit des traces de polychromie et de dorure, ce que P. Morey avait ensuite contesté. – est assise sur un rocher, tenant un aigle légionnaire ; à ses côtés, se trouvent des enfants portant des œufs et des épis200. Pour l’époque romaine, citons Sénèque, De Ignibus V, qui s’efforce de comprendre le mécanisme de la réflexion dans les miroirs, et l’arc-en-ciel. Cette hypothèse permettra d’évoquer les conditions optimales de vision (la présence de terrasses sur les quatre côtés) et de les confronter, en un « cas d’école », aux critères de l’optique antique. L’image était donc composée dans ce but précis, et on peut remarquer que la spire participe à l’identification, même si elle n’est pas l’élément le plus fréquent40. La solution choisie présente le meilleur compromis théorique entre angle de vue et distance. IIIa, spire 10-11 ; pl. C - 13013 Marseille FranceVous pouvez également nous indiquer à l'aide du formulaire suivant les coordonnées de votre institution ou de votre bibliothèque afin que nous les contactions pour leur suggérer l’achat de ce livre. Preuve que, à la fin de la République et dans un milieu romain cultivé (de culture hellénistique), les théories optiques tombent sous le sens. J. André, R. Bloch et A. Rouveret). Veyne 1991, p. 340-341, cite un autre exemplaire de rouleau illustré, la Genèse de Vienne. La colonne fut érigée sous le règne de l'empereur Trajan, de 107 à 113, peut-être par l'ingénieur Apollodore de Damas, dont le rôle dans la construction de l'ensemble du forum de Trajan n'est pas bien établi : il est possible que celui-ci ait seulement supervisé les travaux. Une autre des faces de cette base a conservé un fond bleu. 78Avançons enfin un dernier élément en faveur d’une vision prévue depuis un point élevé. Panvini Rosati 1955, y reconnaît le temple du Divin Nerva (voir encore Brown 1940). 56 Settis 1988a, p. 50, et Milella 1995, p. 100, offrent une bonne vue de la base de la colonne et de l’inscription, détériorée au VIIe siècle par le toit d’une chapelle installée au pied de la colonne. Également : Gombrich 1987, p. 244-245. J. André, R. Bloch et A. Rouveret). Bibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome, Par auteurs, Par personnes citées, Par mots clés. J.-M. Croisille). Y a-t-il une relation entre la courbe du fût et les dispositifs assurant une bonne visibilité des reliefs, en l’espèce la hauteur des terrasses ? L’objectif est la meilleure visibilité possible, comme le confirme le dossier littéraire qui suit. Schneider 1990, p. 255, met en exergue le faste dont témoigne ce choix, sa signification (ibid., p. 256 : « ihr einzigartiger Symbolwert als Zeichen grenzenloser imperialer Macht »), mais aussi les contrastes visuels que, par exemple, l’association des porphyres vert et rouge pouvaient produire dans la porticus purpuretica (localisation d’après le CIL XV, 7191 ; Schneider 1990, p. 255 note 155, et ci-dessous Chapitre Quatre). La première série (fig. Vision perpendiculaire et vers le bas (d’après les dimensions données par Farinella 1981). En effet, si notre vision résultait du ‘choc des simulacres’, il est vrai que ceux-ci auraient du mal à franchir les espaces étroits. LES BIBLIOTHÈQUES ET LA COUR DE LA COLUMNA TRAIANA (fig. IIa, spire 6-7 ; pl. Au terme de ces calculs, il apparaît une nouvelle fois que le pessimisme des opposants à la vision à mi-hauteur doit être modéré. 137 Veyne 1990, p. 13, pensait que « sauf les deux premières spires, ces reliefs sont indiscernables par le spectateur ». 26), n’est pas la mieux éclairée par le soleil. 96 Vitruve, VI, 4 (traduction française d’après E.H. Vitruve mentionne ainsi, justement à propos de colonnes dont l’altitude atteignait cinquante pieds, les correctifs à prévoir pour éviter les illusions et obtenir, non une bonne visibilité (ces colonnes sont des colonnes non-historiées), mais une venusta species91. 76 Plus généralement, sur l’aménagement des forums dans le monde romain, lire Gros 1990b, et Gros 1992a, p. 237-242 et 258-264. Ce schéma est scindé en deux parties, ceci pour tenir compte du différentiel de distance entre longueur et largeur de la place. 200 Mazzini 1957, et le RIC II, 288 planche XI figure 192. Packer 1992a, p. 70-71, Packer 1992b, p. 154-156 et p. 158-159, et enfin Lucrezia Ungaro et Marina Milella font de même (I luoghi del consenso imperiale 1995b, p. 16), mais voir en dernier lieu Ungaro 1995a p. 107, et Meneghini 2001a, p. 56, ou 2001b, p. 256. Pour une bonne vision des couleurs, elle ne doit être ni surabondante, ni insuffisante. D’autres bâtiments ont été construits tels que : 1. Édition illustrée avec les photographies exécutées en 1862 pour Napoléon III, avec la collaboration de H. Chew, Paris, 2015, 35x30,5 cm, 303 pages, 63 planches montées à l’italienne”. 19 Corbier 1987, p. 33, et 43-46 sur les lieux d’affichage des documents officiels écrits sur tables de bois ou plaques de bronze. On sait que les relations entre les œuvres antiques (le système idéologique qu’elles développent) et leur public, est devenu un volet de la recherche contemporaine. 26 et 28)186. Ce point implique donc que chaque spire est plus « large » que sur la colonne Trajane. Sur l’imposante bibliographie consacrée à la question, consulter encore Mansuelli 1969, et Becatti 1982, p. 540-542, qui conclut que la dédicace fait référence, non à une hauteur entre Capitole et Quirinal, mais aux travaux nécessaires pour entailler les pentes des deux collines. 27De l’abondante bibliographie sur la courte lacune56, retenons les propositions de Mariano Raoss. Enfin, les scènes de sacrifice montrant Trajan en toge ou en tunique, les scènes où les soldats en tunique escortent ou acclament l’empereur, les scènes où des togati accueillent Trajan ou assistent à un sacrifice, présentaient une exceptionnelle dominante blanche. Or, nous considérons que le point de vue préférentiel n’est plus le sol, mais la (ou les) terrasse(s) à mi-hauteur, desquelles la frise est visible jusqu’à la spire 20. Avant de reprendre ce dossier, il convient d’établir quelques préalables. Trajan fut choisi (ou accueilli favorablement) par le milieu sénatorial, justement parce qu’il incarnait les attentes déçues par Domitien. Le fût de la colonne fait 100 pieds romains (30 m.) ; il est composé de 17 tambours de marbre égaux ; mais la bande de la frise croît en hauteur pour corriger l'effet d'optique (de 0,89 à 1,25 m.). Les deux phases du regard sont consécutives, mais non autonomes : la non-visibilité des reliefs a été discutée, justement parce qu’elle a comme conséquence l’illisibilité33. Il s’agit là, non d’une attitude logique, déductible des caractéristiques de l’œuvre étudiée, mais d’un comportement culturel complexe, qui obéit à des motivations autres que le critère de l’immédiate lisibilité. 83 Lucrèce, De rerum natura IV, 250-253 (trad. J.C. scopas the-battle-of-the-greeks-and-the-amazons-from-the-mausoleum-of-halicarnassus-circa-350-bc. Et si l’on conserve l’angle de référence tout en reportant les segments A et B (figure 37), on constate que les spires 16 à 21 ( ?) 59 Citée comme « fantaisiste, mais caractéristique » par Schuhl 1933, p. 30. De par l’analyse interne des reliefs, on aurait pu s’arrêter à la spire 21 : en effet, cette dernière conserve peut-être l’indice de la visibilité espérée par les concepteurs de la frise, puisqu’au-delà on constate la disparition de la silhouette impériale. Face S : spires 12 et 13, pl.
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