Mister Lonely Par Johnny, Anciens Iraniens 5 Lettrestempérature Athènes Novembre, Balance Ton Porc Scolaire, Nekfeu Concert Marseille, Asvel Féminin équipe, Idée De Thème, Collier Maman Histoire D'or, Savines-le Lac Hôtel, Devis Salle De Bain 4m2, "/>

guerre du péloponnèse cours

1, 2) qui voulait par là renchérir sur un Hérodote voyant dans les guerres médiques l’événement le plus considérable de son temps, fut un tournant majeur dans l’histoire du … Mégare regagne le giron de la ligue du Péloponnèse, et les Lacédémoniens[N 1] envahissent l'Attique mais retournent chez eux sans combattre après s'être laissés soudoyer[27]. Élu stratège, Alcibiade rentre triomphalement à Athènes en mai 407 et se voit accorder les pleins pouvoirs militaires[196]. Alors que le premier plaide passionnément la cause interventionniste, Nicias veut effrayer les Athéniens en surestimant les forces siciliennes. Ayant la maîtrise totale de la mer, Lysandre entreprend alors la conquête de toutes les possessions athéniennes, à l'exception de Samos, avant de porter sa flotte jusqu'au Pirée. Cyrus réclame quant à lui le retour de Lysandre comme condition du maintien de son soutien. Le document à étudier est un extrait de l’Histoire de la Guerre du Péloponnèse_ écrite par Thucydide datant de la fin du Vème siècle avant J.-C.__ L’auteur est un des acteurs du conflit qu’il raconte, conflit qui oppose entre 431 et 404, les cités d’Athènes et de Sparte. Thucydide y place un fameux dialogue où s'affirme la volonté impériale des Athéniens au mépris du droit des gens, impérialisme fondé sur la loi du plus fort[137]. Peu après, Athènes et Sparte concluent une paix de Trente Ans, les Athéniens devant restituer leurs conquêtes sauf Égine et Naupacte[26]. C'est là une menace sérieuse pesant sur la cohésion de la ligue du Péloponnèse[124]. Cette mesure, prise par l'assemblée sous le coup de la colère et regrettée par la suite, prive Athènes de ses commandants les plus expérimentés[206]. la dernière. Après le rejet de cette offre par les Athéniens, qui restent campés sur leur proposition d'arbitrage, les Spartiates leur lancent un ultimatum qui est rejeté après l'intervention de Périclès, lequel se déclare favorable à la guerre[49]. La ligue de Délos va devenir l'instrument de l'impérialisme athénien. Le 10 mars 1996 (soit vingt-quatre siècles après les faits), lors d'une cérémonie spéciale tenue dans l'ancienne Sparte, le maire de la Sparte contemporaine Dimosthenis Matalas et le maire d'Athènes Dimítris Avramópoulos signent un traité de paix qui met fin officiellement à cette guerre[2],[3]. La démocratie, tenue responsable de la défaite, est mise au centre de toutes les accusations. On peut ajouter à cela que Sparte avait, notamment avec Thèbes et Corinthe, des alliés plus puissants et plus fiables que ceux de son adversaire. En 405, Lysandre et sa nouvelle flotte, financée par Cyrus, regagnent l'Hellespont par la ruse en attirant les navires athéniens dans une vaine poursuite. La trêve est ensuite respectée jusqu'à son terme. S'étant assuré du soutien de Cyrus, fils du roi de Perse Darius II et nouveau dirigeant de l'Asie Mineure en lieu et place de Tissapherne, Lysandre débauche grâce à son aide financière de nombreux mercenaires athéniens en leur offrant un salaire supérieur[198],[199]. Un second navire rattrape le premier in extremis et sauve la population de Mytilène. Même après le désastre sicilien, Athènes repousse par deux fois des propositions de paix acceptables en croyant pouvoir encore l'emporter. En 424 sur la côte thrace, une armée péloponnésienne sous la conduite du spartiate Brasidas assiège Amphipolis qui tombe durant l'hiver 424/423. Les Lacédémoniens sont incapables d'imposer à Athènes un long siège, n'ayant aucun savoir-faire en poliorcétique et ne possédant pas de ressources financières et matérielles suffisantes pour s'implanter durablement hors de leurs bases[52]. Athènes fait pression depuis la première phase de la guerre pour que l'île de Mélos, neutre dans le conflit, entre dans son empire[135]. Peu après, Corinthe l'emporte sur Corcyre lors de la grande et confuse bataille navale de Sybota, dans laquelle 260 navires sont impliqués. Pour l'historien Donald Kagan, cette stratégie presque uniquement défensive présente l'inconvénient de placer Athènes en situation de faiblesse aux yeux de toute la Grèce, amenant ainsi les autres cités à ne plus la craindre. Il n'y a pas d'invasions en 429, par crainte de la peste, et en 426, un tremblement de terre ayant été considéré comme un mauvais présage mais sans doute aussi en raison de la recrudescence de l'épidémie[67]. Une force d'environ 300 hommes est envoyée, les portes de la cité lui sont ouvertes de nuit par les comploteurs mais le peuple parvient à se saisir des Thébains. Les Athéniens prennent néanmoins l'avantage sur Syracuse au printemps 414 en s'emparant du plateau des Épipoles où ils commencent la construction d'un double mur afin d'isoler la ville[152]. Callicratidas y trouve la mort et les Spartiates perdent 77 navires contre 25 pour les Athéniens[204]. En 426, Agis II succède à son père Archidamos alors que Pleistoanax rentre de l'exil auquel il avait été condamné en 445, Sparte ayant donc à nouveau deux rois[91]. Toutefois, Amphipolis refuse de regagner l'alliance athénienne après le départ des troupes spartiates, en conséquence de quoi Athènes s'oppose à la restitution de Pylos[123]. En France, Jacqueline de Romilly est considérée comme une spécialiste de la période et de Thucydide en particulier[19]. Cependant, les négociations de paix entamées par Sparte sur la base d'un retour à la paix de Trente Ans échouent en raison des conditions draconiennes imposées par Cléon[100]. Par ailleurs, les oligarques reprennent provisoirement le pouvoir à Argos mais la démocratie et l'alliance athénienne sont rétablies à la fin de l'été 417[132]. Athènes, pour avoir secouru Corcyre, est accusé d'avoir violé la paix de trente ans. Ils ne peuvent entreprendre le siège de la cité sans cavaliers et, en attendant que des renforts dans ce domaine arrivent, l'hiver passe sans qu'ils mènent d'autres actions[151]. Athènes rassemble alors une « flotte de la dernière chance » en engageant ses dernières ressources et en affranchissant des esclaves pour qu'ils servent d'équipages[198]. Les Spartiates capturent ou coulent 170 trières, soit la quasi-totalité de la flotte, et mettent à mort au moins 3 000 prisonniers[210]. Athènes réagit en débloquant un fonds d'urgence de mille talents qui lui permet d'armer une flotte et de l'envoyer cingler vers les côtes de l'Ionie. Tides of War (2000) de Steven Pressfield offre une vision romancée du conflit avec à nouveau Alcibiade en personnage de premier plan[245]. Avec l'aide de Thrasybule, qui est conscient de la nécessité d'une alliance avec les Perses, Alcibiade se fait alors élire stratège par les soldats athéniens de Samos[178]. Grâce à cette série de victoires, dont Thrasybule est le principal artisan pour l'historien Donald Kagan, Athènes a de nouveau la maîtrise des mers[191]. Les Trente deviennent rapidement impopulaires en donnant l'ordre de massacrer des citoyens et des riches métèques pour s'emparer de leur fortune. La démocratie est remplacée par la tyrannie des Trente à la suite de l'action de Lysandre. Goat Song (1967) de Frank Yerby relate les aventures d'un Spartiate capturé à Sphactérie et découvrant la culture athénienne[242]. La dernière modification de cette page a été faite le 9 décembre 2020 à 16:08. C’est l’affrontement de deux géants que tout oppose : l’un est une démocratie tournée vers la mer avec une flotte puissante (thalassocratie), l’autre est une oligarchie, ancrée dans ses terres avec une armée redoutable de fantassins aguerris. L’évolution la plus notable de cette période est que se développe la guerre navale, avec comme symbole le navire de ligne, la trière. Tout le monde connaît la guerre du Péloponnèse de nom, mais peu savent quels en furent vraiment les enjeux et les acteurs. En 454, le trésor entreposé à Délos est transféré sur l'Acropole d'Athènes, les Athéniens n'hésiteront pas à y puiser comme bon leur semble. Deux partis dominent dès lors la vie politique : celui mené par Nicias, démocrate modéré, partisan d'une guerre sans excès et ce au nom des grands propriétaires terriens, las de voir leurs terres ravagées ; et celui mené par Cléon, démagogue, lui-même commerçant et parlant au nom de l'Athènes urbaine ; il en appelle à une implication totale dans le conflit[84],[85]. Les trois stratèges ont des objectifs différents : Nicias veut temporiser en se contentant d'une démonstration de force, Lamachos souhaite attaquer Syracuse immédiatement, et Alcibiade veut rallier les cités siciliennes dans une alliance contre Syracuse. Sur l'insistance de Corinthe, les autres cités de la ligue de Péloponnèse votent à leur tour en faveur de la guerre en août 432[47]. Au cours de la guerre du Péloponnèse, il y avait 1 000 cavaliers. Nicias perd ensuite un temps précieux avant de se décider à quitter la Sicile et sa flotte est vaincue lors de deux batailles dans le port de Syracuse en raison de l'espace confiné qui l'empêche de manœuvrer et de la tactique d'éperonnage employée par les navires syracusains et corinthiens à la proue renforcée[160]. Sa magistrature de navarque arrivée à terme, Lysandre doit cependant, et à son grand déplaisir, se retirer[202]. Périclès considère que les athéniens ne peuvent pas faire face à une offensive terrestre et décide donc le repli dans la cité. La démocratie athénienne, qui « lui a donné dans le malheur d'incroyables facultés de résistance » se révèle alors une faiblesse par son intransigeance[237], non seulement envers ses adversaires mais aussi avec ses propres généraux qui peuvent être exécutés ou bannis à la moindre occasion et sont ainsi poussés « à un excès de prudence ou d'audace »[236]. De son côté, Sparte est considérée, du fait de sa tactique hoplitique éprouvée au cours des guerres de Messénie et de l'entraînement de ses soldats au sein de l'agôgé, l'éducation spartiate, comme la meilleure armée terrestre. L'année 425 est néanmoins marquée par un succès athénien: le stratège Démosthène parvient à enfermer 420 hoplites spartiates dans l'île de Sphactérie. Elle comprend les clauses suivantes : une paix conclue pour cinquante ans ; la restitution de toutes les places prises et des prisonniers ; les cités de Thrace sont évacuées par les Péloponnésiens ; et les querelles à venir seront réglées par arbitrage et négociations[120]. Il compte jouer sur la supériorité maritime et opte dans un premier temps pour une stratégie défensive. Au printemps 414, Nicias et Lamachos menacent Syracuse. Les Spartiates soutenus par les Perses mènent une contre-offensive: la bataille navale de Notion (407) aboutit à une défaite athénienne. En 446 est signée une paix de 30 ans avec Sparte, mais la Grèce est alors bipolarisée. Les Spartiates refusent de réduire en servitude Athènes en rappelant le rôle qu'elle a joué pendant les guerres médiques, mais surtout pour que la cité serve de contrepoids à Thèbes, dont ils se méfient[213]. … Les alliances de la guerre du Péloponnèse. The Isle of Stone (2005) de Nicholas Nicastro est un roman centré sur les combattants spartiates de Sphactérie[246]. du Péloponnèse, 479 - 431 - Guerre du Péloponnèse, 431 - 404. Mais une nouvelle dénonciation sur la participation d'Alcibiade à la parodie des Mystères provoque l'envoi d'une trière pour le ramener à Athènes et le juger. En octobre et novembre 411, les stratèges athéniens Thrasybule et Thrasylle remportent sur Mindarus des victoires navales à Cynosséma, victoire étriquée mais qui redonne confiance aux Athéniens[188], et à Abydos. Étymologiquement, la guerre vient du vieux germanique werra (simple exclamation ; cri de guerre) qui donnera war (en anglais) et que l’on retrouve dans Wehrmacht ou Bundeswehr (en allemand).Le mot grec polemos viendrait de poles qui désignait le grand nombre ; le mot latin bellum viendrait de duellum (le duel) que Horace ou Plaute utilisaient pour désigner la guerre. Athènes, encerclée sur terre et sur mer, est rapidement gagnée par la famine – d'autant que Lysandre a sciemment laissé aux garnisons athéniennes des cités conquises le droit de regagner leur cité-mère afin qu'il y ait plus de bouches à nourrir – et doit se soumettre en avril 404 après de longues négociations menées par Théramène auprès de Lysandre, puis des éphores de Sparte[211]. La guerre du Péloponnèse sert de toile de fond historique au jeu vidéo Assassin's Creed Odyssey. Critias est tué et les Trente s'enfuient à Eleusis. En outre, Athènes dispose d'une armée terrestre d'environ 30 000 hommes. Afin d'y échapper, Alcibiade fausse compagnie à son escorte à Thourioi[148] et se réfugie à Sparte durant l'hiver 415-414 quand lui parvient la nouvelle de sa condamnation à mort par contumace[149]. Lors des délibérations qui suivent, Archidamos II, roi de Sparte et ami de Périclès, se prononce contre la guerre en prévenant l'assemblée qu'Athènes est un ennemi puissant et que le conflit pourrait durer plus d'une génération. À la suite de cette victoire, plusieurs autres cités de la région abandonnent l'alliance athénienne[114]. Tout oppose Athènes et Sparte, la première étant une démocratie et une puissance marchande, dotée d'une incroyable flotte de guerre; la seconde étant une oligarchie,… Sous la menace de mettre à mort les hoplites, Athènes obtient le renoncement des Péloponnésiens à envahir l'Attique, comme ils l'avaient fait chaque printemps depuis le début de la guerre. L’empire d’Athènes, qui était au sommet de sa puissance, est affaiblie suite à sa défaite. En 425, une seconde expédition est envoyée sous la conduite de Démosthène pour renforcer la première. La guerre oppose principalement les Athéniens et leurs alliés à Corinthe et à Thèbes. Le conflit change radicalement la vision qu'avaient les Grecs de la guerre. C'est alors qu'Alcibiade, entré peu de temps auparavant dans l'arène politique et poussé par son ambition immodérée, réussit par ses talents de diplomate, et contre l'avis de Nicias, à persuader Argos, Élis et Mantinée de signer avec Athènes une alliance défensive pour cent ans. Ce document a été mis à jour le 27/10/2012 Athènes, informée de ces velléités, envoie une flotte lancer un ultimatum que Mytilène repousse tout en appelant Sparte à son aide en août 428[86]. Pendant l'hiver 407-406, alors que les deux flottes s'observent, Alcibiade laisse provisoirement le commandement à son ami Antiochos pour assister au siège de Phocée. Après la mort de Cléon, Alcibiade est le nouveau venu sur la scène politique athénienne. Cette dernière, risquant alors d'être évincée de la mer Ionienne, pousse son ancienne colonie thrace de Potidéeà quitter la Confédération maritime d'Athènes, créée après les guerres médiques. Son plan est donc de mener une guerre d'usure en abritant la population des campagnes de l'Attique dans l'enceinte des Longs Murs, qui relient Athènes au port du Pirée, lors des invasions spartiates, tandis que la flotte aura pour mission de ravitailler Athènes, de veiller à ce que les alliés de la cité continuent à verser leurs tributs et de mener des raids dans le Péloponnèse. La démocratie est définitivement établie avec les réformes d'Ephialte et la cité, à la tête de la puissante ligue de Délos, exerce sa domination sur l'ensemble du monde égéen. En décembre, il s'empare d'Amphipolis par une attaque surprise avant que la flotte athénienne du stratège Thucydide (celui-là même qui, exilé à la suite de cet échec, raconte le conflit) ne puisse intervenir. L'expansion du modèle démocratique athénien connaît un coup d'arrêt définitif dans le monde grec, la tendance politique revenant aux oligarchies[229]. Malgré une victoire navale mineure au large de Symi, les Lacédémoniens évitent soigneusement tout engagement important, laissant ainsi le contrôle de la mer à leurs adversaires[176]. Sparte se retrouve peu après isolée dans le jeu des ligues et doit livrer la guerre de Corinthe (395-387) contre Thèbes, Athènes, Corinthe et Argos. Les lois sont aussi modifiées afin de compenser les pertes subies, un seul parent athénien suffisant désormais pour se voir accorder la citoyenneté[77]. En 404, au terme des négociations, Athènes capitule. Les 300 prisonniers spartiates sont finalement libérés, au prix d'une alliance défensive entre Sparte et Athènes permettant l'intervention des troupes athéniennes en cas de révolte des hilotes en Messénie[121]. J.-C.) opposa Athènes à son empire, connu sous le nom de Ligue de Délos, et la Ligue du Péloponnèse, dirigée par Sparte. Le fait que le roi de Perse Darius II soit sur son lit de mort et que son successeur désigné, Artaxerxès II, soit hostile à son frère cadet Cyrus et donc susceptible de retirer son soutien à Sparte, a sans doute été aussi un facteur important dans l'établissement de conditions de paix moins dures permettant de hâter la reddition d'Athènes[214]. The Walled Orchard (1990) de Tom Holt narre la vie d'un rival d'Aristophane avec la guerre du Péloponnèse en toile de fond[244]. Le déroulement du conflit est principalement connu à travers les récits qu'en ont fait Thucydide et Xénophon. Ainsi les cités cherchant à quitter la ligue voient leurs désirs réprimés par une flotte constituée à l'origine pour les défendre[22]. Start studying Cours 7 Partie 2 : la guerre du péloponnèse. La cité est contrainte de payer une forte indemnité et de rester dans la ligue. L'armée d'Élis, partie momentanément en raison d'une querelle avec ses alliés, revient trop tard pour participer au combat, son absence ayant certainement eu un grand impact sur son déroulement[130]. La plupart des 10 000 survivants disparaissent dans les carrières de pierres des Latomies où ils sont détenus prisonniers par Syracuse dans des conditions effroyables[162]. Cet impérialisme provoque à la fin du 5 e siècle une guerre fratricide entre cités grecques, la guerre du Péloponnèse, lutte fratricide qui provoque au final l’affaiblissement du monde grec. Ceux-ci, sous la conduite d'un général athénien, attaquent par surprise le village de Mycalesse et massacrent ses habitants, y compris les enfants qui étaient alors à l'école[138], commettant ainsi, selon les mots de l'historien Donald Kagan, « la pire atrocité de toute la guerre »[139]. Les Spartiates ont le choix entre quatre offensives possibles dans des régions diverses, dont deux proposées par Pharnabaze et Tissapherne, mais les factions qui se partagent le pouvoir n'arrivent pas à s'entendre[167]. Il nait vers 460 et meurt aux alentours de 400. En 462, alors que les Spartiates doivent faire face à une révolte de hilotes, ils refusent de manière brutale l'assistance offerte par Athènes, ce qui entraîne dans cette cité l'ostracisme de Cimon, chef du parti favorable à l'alliance avec Sparte[25]. De plus, la paix de Nicias n'engage pratiquement que Sparte face à Athènes et à ses alliés. A la tête d'une armée et soutenu par une grande partie de la population, il parvient en 403 à rétablir la démocratie à Athènes. La ligue est fondée sur une base égalitaire (au Conseil, chaque cité dispose d'une voix), volontaire, et son trésor est déposé sur l'île de Délos. Les renforts du Spartiate Gylippe, arrivés en août 414 juste à temps pour empêcher l'encerclement complet de Syracuse, obligent en octobre les Athéniens à reculer vers la rade, dans laquelle ils sont affectés par une épidémie de paludisme[155]. À l'aube de la guerre du Péloponnèse, ce qui était à l'origine une alliance de cités indépendantes dirigée par Athènes pour mettre fin à la menace perse est devenu un empire athénien où, sur plus de 150 membres de la ligue, seules les îles de Lesbos et Chios conservent encore leurs propres flottes et une certaine autonomie[24]. Périclès sait que Sparte et sa ligue seraient supérieures en cas de bataille rangée mais aussi qu'ils ne pourront pas soutenir une guerre prolongée ou maritime. Ce dernier fait pression pour faire élire trente membres d'une commission qui, sous couvert de rédiger de nouvelles lois, exerce le pouvoir avec l'appui d'une garnison spartiate[215]. Alors que Sparte a toujours prétendu combattre pour la liberté des Grecs, il s'avère très vite qu'il n'en était rien puisqu'elle garde le contrôle de plusieurs cités en Asie Mineure, imposant un tribut et installant des oligarchies protégées par des garnisons spartiates, et que d'autres cités sont restituées aux Perses[219]. Les massacres se multiplient, même pendant cette période où Athènes et Sparte sont officiellement en paix. Les Athéniens envoient vingt trières mais ne mènent aucune action décisive en dehors de la prise, éphémère, de Messine. Dès lors, Platées est surveillée par une garnison athénienne[59]. La stratégie des Spartiates est donc très simple : elle consiste à envahir l'Attique et à dévaster ses terres cultivées afin de contraindre les Athéniens, par la famine ou l'humiliation ressentie, à sortir de leurs murs pour se battre en rase campagne[56]. Il est caractérisé par une transformation totale des modes de combats traditionnels de la Grèce antique, notamment par un abandon progressif de la bataille en formation de phalange vers ce que l'historien Victor Davis Hanson qualifiera de premier conflit « total » de l'Histoire[1]. La guerre du Péloponnèse Alliance entre les Spartiates et les Perses Défaite d’Athènes (bataille des îles Arginuses en 406; bataille d’Aigos Potamos en 404) Fin de l’Empire athénien Sparte a gagné la guerre du Péloponnèse La guerre a duré 27 ans (de 431 à 404 av. A l'instar des Tragiques grecs, il évoque la grandeur et la chute de sa cité. La Guerre du Péloponnèse est un long conflit opposant Athènes, avec sa Ligue de Délos, à Sparte et sa Ligue du Péloponnèse. Les deux cités s'affrontent par intermittence lors de la première guerre du Péloponnèse (460-445), qui est provoquée par le conflit entre Corinthe et Mégare, deux cités membres de la ligue du Péloponnèse[26]. En 416, les Méliens, alliés d'Athènes, décident un rapprochement avec Sparte. Les Athéniens s'emparent de la cité, mettent à mort tous les hommes et réduisent les femmes et enfants en servitude afin de lancer un signal fort aux autres cités tentées de se rebeller. Athènes lui reproche en effet officiellement d'exploiter des terres sacrées et d'accueillir des esclaves fugitifs[42]. Selon Thucydide, la cause véritable, mais non avouée, du conflit est donc la puissance à laquelle les Athéniens sont parvenus. Malgré l'inconfort ressenti par la population en raison de l'afflux de réfugiés et les accusations de couardise lancées contre lui par ses adversaires politiques, le prestige de Périclès et le respect qu'il inspire persuade les Athéniens de s'en tenir à son plan[64].

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