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mother film coréen explication

Il demande une dernière chose à Mother, son amour et c’est cet amour qui permet d’effacer/oublier toutes les violence passées. Si on cible le personnage de Javier Bardem, on a affaire à : Cette analyse a été rédigée à chaud, après quelques échanges avec d'autres spectateurs.Il y a surement encore plein de choses à dire sur le film et vos contributions sont les bienvenues. Nous vous conseillons évidemment d'avoir vu Mother! La deuxième interprétation est celle d’un éveil à la sexualité/la luxure pour Mother. Encore plus quand on s’intéresse scrupuleusement au personnage de Jennifer Lawrence. Sauf que je voyais dans “Mother” la Vierge Marie car j’avais compris que “Le Poète” et elle n’avaient jamais essayé de concevoir un enfant. Quelque temps plus tard, son ouvrage est publié et rencontre le succès. Nous vous proposons ci-dessous une analyse complète du film et de ses nombreux thèmes et messages cachés. Page 4 : Explications de la fin du film avant de parcourir cette analyse. Vous avez pas le cerveau qui fume après à vous poser toutes ces questions ?. Une oeuvre d’art ne peut se concevoir sans contact avec d’autres hommes.A méditer! Bonne lecture ! Or, Mother ! Une thématique omniprésente représentée de différentes façons dans le film : la création artistique (rédaction d’un ouvrage), la création d’une vie (naissance d’un enfant), la création matérielle (construction d’une maison)… Plus que la création en elle-même, le réalisateur s’intéresse ici surtout à ses conséquences sur son créateur et sur les personnes qui l’entourent. Pour le reste, je suis en revanche totalement d’accord. Si certains messages s’avèrent assez limpides, le cinéaste les surlignant en permanence, d’autres se révèlent en revanche plutôt confus, donnant l’impression d’être introduits sans véritable raison. À 28 ans, il est loin d'être indépendant et sa naïveté le conduit à se comporter parfois bêtement et dangereusement ce qui rend sa mère anxieuse. Actualités 11.12.2020 à 17h02. Un thriller sud-coréen à l’histoire déroutante et au sujet universel. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui l’on doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. La notion du pardon par exemple, de la famille, on les retrouve partout, et en chaque époque, et dans chaque peuple, l’homme se bat surtout sur les formes, ou la manière dont on les pratiques, mais dans le fond, on est tous semblable, et ont fonctionnent tous sur le même schéma. En extrapolant beaucoup, on peut toujours faire dire n’importe quoi au film mais les liens ne me paraissent pas des plus évidents. Donc même si l’on a l’impression que “Le Poète” protège “Mother”, il protège ses intérêts et non la personne. C’est elle qui crée, par son amour, symbolisé par le cristal, la maison-terre du film. L’amour (sous forme de louanges) qu’il reçoit pour son œuvre passe ainsi avant son amour pour sa femme. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées. Vous pouvez avoir pl… Lui (Javier Bardem) est auteur, un poète reconnu et en grande difficulté pour poursuivre son travail d'écriture. Ce pourrait aussi être la liaison de la luxure (ou de la sexualité) qui est un péché, avec la vie et sa création, car Mother EST la vie comme le dit Javier Barden dans la scène finale. Pour rappel : SPOILER ALERTE, Mother!, c’est l’histoire d’un couple qui mène une vie pépère dans une baraque paumée. Synopsis Afin d'éviter l'extinction des êtres humains, un robot "La Mère" a été désigné afin de les éduquer. Suffisamment dailleurs que pour me donner envie de lui consacrer un article entier dinterprétation. Mother a beaucoup plus de mal avec l'intrusion de ces inconnus au comportement parfois étrange, qui brisent notamment le cristal "porte bonheur" présent dans le bureau de l'auteur. L’EXPLICATION. Un groupe de clandestins arrive en Corée en container. Le cristal pourrait être les souvenirs du créateurs qu’il garde dans son jardin secret de chambre. Certes, individuellement, il s’agit de thématiques relativement riches mais leur association dans ce film manque, à mon sens, cruellement de cohérence et de pertinence. On voit finalement que Mère-nature a plus de jugeote que Dieu lui-même (le film est plus grand que son réalisateur ? Impossible de le dire avec certitude malheureusement, mais quand on connaît la propension de Darren Aronofsky à traiter des troubles psychologiques dans ses films, on peut se dire que l’idée n’est pas complètement farfelue. L’enfant conçus étant bien une personnification de Jésus, j’avais peux de doutes sur la personne de Marie dans le rôle de “Mother”. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Concernant le cristal, je pense qu’il peut symboliser la vie, comme “Lui” le dit clairement à la fin. (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) Elle y est d’ailleurs directement connectée et « ressent » son pouls. On défend tous les mêmes valeurs, mais elles ne passeront jamais par les mêmes forme ou nomination, par rapport à la vie, l’éducation que l’on a eu. Le réalisateur précise également que “Mother” ne peut être avec un être humain lambda, se qui peut laisser planer le doute si “le Poète” est DIEU ou le DIABLE, J’y vois pour ma part un paralellèle très clair avec la Bible, le fruit défendu, Cain et Abel, l’apocalypse, etc … ATTENTION ! Elle, est l’Inspiration qui construit un monde protecteur (la maison) pour Lui, l’artiste créateur. Le culte voué à lui, clairement satanique. Il met en tentation Adam en lui montrant le cristal. Bien sûr, il est nécessaire qu’une œuvre, quelle qu’elle soit, puisse conserver une certaine ambiguïté, mais il me paraît tout de même indispensable qu’elle puisse également offrir des clés d’interprétation viables pour être appréciées. Quand un Homme la drague, il lui propose directement de sortir de la maison, « faire un tour » hors de leur relation. Concrètement, que se passe-t-il ? Et je ne parle pas des lectures freudiennes avec le ça, le moi et le surmoi… La réalisation de « fantasmes » ; le réalisateur filme ce qui ne se dit pas, ce qui parfois même ne fait qu’affleurer aux abords de la conscience… Dans le film, On peut aussi voir un aspect diabolique dans “le Poète”. Bref, si l’on ajouté les autres lectures proposées… qui sont également des plus pertinentes , .. C’est une « Oeuvré » à l’image de l’ambition du réalisateur,.. Un peu trop ambitieuse dans doute… Trop fourre-tout… Et, franchement, beaucoup trop prévisible à mon sens à bien des égards. Mother! Le monde a la capacité de retourner à l’état primitif. La vie tranquille et la solitude sont interrompus lorsqu'un couple d'étrangers, "L'homme" et "La femme", débarque et s'installe dans leur maison. Bien sûr tous les arguments si dessus pourraient être retournés vers un côté plus positif du personnage comme beaucoup le vois. En tous cas quand tout s’est connecté avec la phrase finale pour moi, ça m’a mis en état de choc… Au début je pensais qu’il fallait que je choisisse entre ces trois niveaux de lectures mais je pense de plus en plus qu’ils ne peuvent être séparé. Les invités surprise qui s’invitent dans la vie de l’artiste me semblent être des éléments croissants et chaotiques de la vraie vie exterieure qui envahissent la paisible structure mentale (la maison) de Lui. Comment ne pas mettre J’ai rencontré le diable dans notre TOP 20 des films coréens indispensables. La destruction de la pierre, quant à elle, n’est rien d’autre qu’une symbolique du fruit défendu, à laquelle on pourrait d’ailleurs ajouter le bureau comme Jardin d’Eden (avec l’arbre du savoir). Un poète est alors un dieu qui crée un univers. “I will never answer what Jen is drinking,” said Aronofsky. Ainsi elle plaint Eve d’avoir perdu son fils alors que Eve est très très très antipathique avec elle. au Québec est un film d'horreur psychologique américain écrit et réalisé par Darren Aronofsky, sorti en 2017. D'autres pistes de réflexion ? C’est elle qui a interdit à Adam et Eve d’aller dans le bureau. L’histoire : Soo-hyun, jeune agent des services secrets sud-coréen, se lance à la poursuite du tueur en série qui a tué sa fiancée alors enceinte, avec en tête un plan de vengeance aussi diabolique que l’est le criminel avec ses victimes. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui lon doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! Après Snowpiercer, Dernier train pour Busan, Mademoiselle, A Girl at my door, c’est au tour de Kim Seong-hun de suivre les traces de Bong-Joong Ho, Yeon Sang-ho, Park Chan-wook, et autre July Jung. On voit aussi “Lui” complétement déboussolé lorsque le cristal est détruit. Au final Aronofsky écrit un film relatant le mécanisme, la fondation et la structure universelle, sur laquelle la vie de chacun va pouvoir y être projeter, que c soit du vécu réel, du fantasme, de l’art, tout peut être incruster dans cette seule et unique histoire, dont la forme ne changera pas. Changer ). C’est ambitieux, certes, mais l’ensemble manque cruellement de cohérence. Le second niveau de lecture, relativement évident lui aussi, est lié à la création au sens large. Ils font l'amour. On ne sait pas grand-chose à son sujet, si ce n’est qu’elle arrête de le prendre une fois enceinte, et que la situation se dégrade ensuite rapidement. Je trouve que tout s’imbrique dans le sens où l’on peut relier les différents personnages. En effet, de la même façon que les intrus détruisent progressivement la maison, Javier Bardem exploite et détruit progressivement sa femme. Avant la mort de sa femme, LUI (étonnamment intact) récupère son cœur pour en extraire une pierre. Je pense que la bible, certain récit de la mythologie, ou même de simple histoire de couple actuel, ne raconte pas une histoire, mais plutôt un “mécanisme” commun à toute les histoires de l’humanité, ou à toute l’imagination que l’on pourrait avoir en créant une histoire. Si Darren Aronofsky est connu pour user abondamment de symboles et autres métaphores dans ses films, Mother ! La maison est tout à la fois l’antre du créateur et la projection d’un ideal sécurisant pour la femme, un lieu dans lequel elle s’incarne, comme un double d’elle-même même et dont l’image constitue le reflet de son état. Quand le Poète laisse rentrer les autres dans la maison, le réal nous fait beaucoup ressentir l’invasion de l’espace privé de Mother, et sa perte de contrôle, sensations qui inondent tout le film : c’est le Poète qui délaisse leur relation (dès que la reconnaissance des autres le flatte), sans tenir compte de la détresse de Mother. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Il faudrait également prendre en compte la lecture psychologique. Watch Korean Drama genre from around the world subbed in over 100 different languages Les excès s’accumulent en ce personnage animé d’un amour indéfectible et exclusif pour un fils qu’elle maintient en état de dépendance totale (elle pense pour lui … Le fait qu’il laisse les vices rentrer dans la maison, s’en délecte. Le film s’ouvre par les plans d’une personne (probablement une femme) en train de brûler, puis par la pose d’une pierre précieuse sur un socle. C’est l’histoire d’un père de famille qui se fait kidnapper dans les années 80 et relâché 15 ans plus tard, sans explication. Comme vous l’expliquez le cycle se répète et l’homme recommence jusqu’à que le cycle s’arrète. _ en l’associant aux autres personnages (la famille du médecin), ce personnage devient Dieu, mais un Dieu pas si parfait que dans la Bible. A l’image de l’Homme tout bonnement. De là à y accrocher, c’est évidemment une autre histoire mais les éléments sont trop nombreux que pour ne pas en tenir compte. L’interpretation de Adam, Eve, Cain et Abel est assez pertinente car elle suggere peut-etre que ce début d’humanité vient a la rencontre de l’univers créateur de Lui! La critique cinéma, c’est un métier ! Souvent destiné un public jeune, le cinéma coréen traite aussi de grands sujets de société et produit des films dur comme l'incontournable Une revisite de la Bible, en humanisant Dieu en créateur/poète tourmenté qui n’arrive pas à contrôler les hommes qu’il a lui-même créé, par trop plein de compassion ou abus de mégalomanie… Ca me semble être un film très clair et très cohérent ! Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). L’EXPLICATION. S’agit-il simplement d’un élément destiné à troubler le spectateur (après tout, ce ne serait pas le premier) ou se pourrait-il que MOTHER soit malade et souffre de visions/hallucinations (auquel cas cela pourrait remettre en cause l’ensemble du récit) ? Quant à la cave, il pourrait tout simplement s’agir de l’enfer (feu). Il est d’ailleurs intéressant de constater que, du début à la fin, le personnage ne quitte jamais la maison. Mais cela peut-être vu aussi de manière plus optimiste : le cycle se répète et peut-être qu’une fois, le cycle se déroulera correctement. Vous dites que vous ne comprenez pas pourquoi la tache de sang formée sur le sol à la suite du meurtre d’Abel prendrait la forme d’un vagin. Très dynamique, le cinéma sud-coréen ne cesse d’intéresser les spectateurs du monde entier. Elle met beaucoup de temps à la construire, seule d’ailleurs, par amour. Bonjour, merci pour cet article ! Aimer un artiste, comme lui, est destructeur. Une autre Mother. Tout au long du film, les intervenants vont contribuer à sa destruction, s’appropriant les lieux, souillant les murs, cassant des objets, se rendant dans des endroits interdits… Plus ils sont nombreux, plus les comportements sont intolérables, et plus les dégâts sont importants. Si l’on se fixe sur le personnage de Jennifer Lawrence, on a : Une fois la naissance faite, le public attend de contempler son oeuvre-enfant et le consommer, Comme le dit Tarkovski à propos du cinéma, une fois le film créé, présenté et donné au public, l’artiste est dépossédé de son oeuvre et le film aura une vie independante car apprécié et interpreté selon chaque spectateur. Film asiatique : The Flu, Année : 2013. Cette réflexion autour de la notion de création et d’artiste peut, bien sûr, facilement s’étendre au réalisateur lui-même, qui a certainement dû susciter/rechercher ce type de réaction au cours de sa carrière. J’ai adoré J’ai trouvé ça plutôt cohérent, même si je n’ai pas encore trouvé d’explication sur la poudre jaune et sur le truc ensanglanté qui finit dans la chasse d’eau des toilettes. Dans cette interprétation, la maison et MOTHER (sorte de mère nature) constituent une métaphore de la planète. est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. Après, chacun est libre de vivre l’expérience qu’il souhaite. Ainsi, dans le long-métrage, la forme d’idolâtrie à l’égard du personnage de Javier Bardem peut être perçue comme une critique du fanatisme dangereux de certains fans pour leur artiste préféré. Il serait très intéressant de pouvoir avoir une discussion avec le réalisateur car toute hypothèse est viable …. (Eh oui ! Même si cela paraît niais, ce cristal / cet amour représente un espoir (vain ?) Rapidement, leur vie tranquille est interrompue par l’arrivée d’un vieux couple, L’HOMME (Ed Harris) et LA FEMME (Michelle Pfeiffer). On se rend compte qu’on détruit la planète mais on agit pas pour autant et le cycle destruction etc revient sans arrêt. Même si la majorité des productions cinématographiques sud-coréennes visent en majorité un jeune public (l'expansion des drama coréens humoristiques ou à l'eau de rose) et de natifs (productions de films classiques basés sur les traditions et la culture coréenne), une nouvelle vague… Chaque perturbation la détruit un peu plus. Il livre un film qui est fait de telle manière, qu’on peut y voir plusieurs choses, interprétations, mais le fond qu’il cherche à nous communiquer, c’est qu’on y voit ce par quoi l’on est concerné, et que l’on ne devrait pas dissocier, ou opposer toute nos différentes visions, mais au contraire, les réunir, pour comprendre, et identifier, qu’en réalité on parle tous de la même chose, mais sous une forme différente. Ou plutôt de décryptage car le long-métrage demeure au final bien trop dense (dans ses thématiques par exemple) que pour se risquer à une explication catégorique. La relation entre Dieu et Mère-nature est doublée par cette relation entre le poète et son inspiration (c’est d’ailleurs explicitement dit dans le film). C’est presque pour moi, une histoire, qui les vaut toute, un anneau pour les gouverner tous, le un, qui contient le tout, et se divise par le reflet de ce que les gens vont vouloir y greffer dessus, mais toujours avec la fondation d’origine. La Corée du Sud est un grand producteur de Cinema et ses films remportent des succès internationaux comme la récente Palme d'Or de Cannes remportée par le film Parasite. En la posant sur un socle, les pièces de la maison se restaurent et dévoilent une nouvelle femme. C’est seulement après que les deux autres lectures (la nature et l’artiste) me sont venues et je les trouve tout à fait crédible. C’est tout l’intérêt du billet. Jusqu’où une mère peut aller pour protéger son enfant ? Cela pourrait également être le fait que l’auteur écrit une histoire, sauf qu’il n’y arrive pas (comme on le voit au début) et finalement on vie l’histoire, on est dans l’histoire, cela ne plait pas à l’auteur et il essaye donc de recommencer en changent le personnage principal. Page 1 : Résumé rapide du film (ci-dessous) J’espère que mon explication sera suffisamment claire. Ah, et, au fait… en dehors de  » Attention la maison à brûlé… Brûle…. Critique de Mother. https://oblikon.net/analyses/mother-explications-du-film-et-de-la-fin Dans le chaos, MOTHER accouche d’un fils, rapidement confisqué et tué par les innombrables visiteurs. Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d’art l’attend et le cycle créatif recommence. Effectivement, une fois la pierre brisée, le couple est chassé de la pièce et son accès est condamné. Personnellement, après le premier visionnage, j’avais principalement le message biblique en tête, surtout depuis le meurtre d’un des frères. Selon moi, Mother est la représentation féminine de Dieu. Pour le plus grand bonheur de LUI, qui retrouve soudainement l’inspiration. Pas besoin d’être croyant pour percevoir les symboliques bibliques. C’est systématique. (ou alors, comme un réalisateur…) Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. repousse encore un peu plus les limites puisque le long-métrage n’est finalement rien d’autre qu’une gigantesque allégorie. Pour l’apaiser, lui permettre d’avoir la sérénité nécessaire à l’écriture. Mother (Jennifer Lawrence) se réveille. (Mais très attachants) « … Et : ils en ont de bonnes, hein ?… Bon, j’arrête ! Vous semblez être passé un peu à côté, alors que c’est mon interprétation la plus forte. D’ailleurs, MOTHER le cerne très bien à la fin du film en déclarant qu’il ne l’aime pas vraiment, il aime le fait qu’elle l’aime. Quand au film en général les critiques faites par l’article sont plutôt satisfaisante. Très bonne Analyse. Il a besoin de l’amour créateur de Dieu pour pouvoir faire le mal. demeure selon moi bien trop flou sur le fond, au contraire par exemple de sa forme qui séduit pratiquement de bout en bout. Comme d’habitude, n’hésitez pas à réagir par commentaire si vous avez des questions, des remarques ou même, qui sait, une approche différente de la mienne. La première est tirée de la Genèse (premier livre de l’Ancien Testament dans la Bible). Une fois son oeuvre-enfant « consommée », l’Inspiration, désormais inutile, préfère, comme une femme désespérée, se détruire et disparaitre elle-même par le feu: Il ne restera plus d’Elle que des cendres de souvenirs… Il a besoin de l’amour de “Mother”. “Mother” mélange se soufre à un autre élément : l’eau. [Interprétation] Mother ! À la toute fin, on retrouve donc une nouvelle femme, dans les mêmes circonstances que Mother! Je comprends ce que tu veux dire, et c’est d’autant plus vrai dès que les personnages ont une dimension métaphorique. Je pense que Lawrence est mère nature/l’inspiration, et que de même ces deux facettes ne peuvent vivre l’une sans l’autre. Moi j’ai pas compris le truc bizarre plein de sang retrouvé dans les toilettes par Mother suite au passage de “Eve”.. Il faut aussi souligner que le réalisateur est en couple avec Jennifer Lawrence, ce film peut donc se voir comme un message personnel pour elle. D’ailleurs, d’autres spectateurs la partagent à ce que j’ai pu lire. au milieu de la destruction. Elle boit le mélange jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte : la vie est crée ! En poursuivant la réflexion, on peut également effectuer un parallèle entre la mort du bébé dans le film (le fils de LUI, donc le fils de Dieu), tué et mangé par les hommes, et la mort de Jésus dans la Bible (prenez, mangez, ceci est mon corps). Au fil du film, chaque bon moment de leur relation régénère la maison. . Une liste des meilleurs films Coréens que j'ai pu voir à l'heure actuel . Ok, c’est souvent le lot des films de genres… et des tragédies… Mais l’ensemble manque de subtilité et, franchement, peut-on prendre un tel film au sérieux ? Au début du film, Lui cherche l’Inspiration, sa femme, qui lui construit un environnement harmonieux et sécurisant, mais elle « emprisonne » jalousement son artiste qui, lui trouvera le déclic après la catastrophe de la destruction du cristal (son ancienne vie): du coup cette crise génère le rédaction de son oeuvre et ainsi l’enfantement d’Elle : c’est l’inspiration qui crée son oeuvre, son enfant! C’est lui qui provoque toutes les destructions de la maison en laissant les hommes faire ce qu’ils veulent : piller, casser… Palmarès Devenir Réalisateur Film Festival, The call sur Netflix : explication de la fin, The Mandalorian Saison 2 : Explication et analyse de la série, Mon inconnue d'Hugo Gélin: analyse du film, Au revoir là-haut d'Albert Dupontel: analyse et explications, (500) days of Summer de Marc Webb: analyse et explications, Analyse de Little Joe par Jessica Hausner, Classements des films de Christopher Nolan : les meilleurs, les plus complexes, les mieux notés, Tenet : théories et explications du film de Christopher Nolan, The Old Guard : explication de la fin du film Netflix avec Charlize Theron, Umbrella Academy : explications de la fin, analyse de la série Netflix et théories pour la suite, Meilleures séries de 2020 sur Netflix et en streaming, Timeless : Rittenhouse, explication de la série et de sa fin, Annecy 2020: The Shaman Sorceress de Jae Huun Ahn (Corée du Sud). Mais comme tu l’as dit, le film mérite qu’on s’y attarde même s’il n’est pas exempt de défauts. _ une épouse qui aide son mari à se sentir épanoui dans son environnement, qui se sacrifie pour lui. Mais 3e thème : « Relation destructrice » ! Apocalypse ou pas, la Corée du Sud, dans sa version « ciné », ferait peur à Trump himself ! Mother est une telle allégorie de la vie que Aronofsky voit dieu/l’artiste en une seule personne et pense le processus créatif comme la construction complète d’un monde. Je trouve juste dommage que le tout ne soit pas très subtile, le film aurait peut-être gagné en qualité. Avec le recul, il est toutefo… Vos analyses sont passionnantes. Un couple voit sa relation remise en question par l'arrivée d'invités imprévus, perturbant leur tranquillité. En touchant cette tâche qui souille sa maison, pourrait-on dire que Mother a une sorte de premier contact avec la sexualité ? Un fanatisme dont la portée peut être terriblement aveuglante pour les artistes, ceux-ci recherchant parfois désespérément toute forme de reconnaissance. Et quand on sait que le réalisateur et son actrice principale ont commencé une relation sur le plateau, on se dit que le jeu des poupées russes entre couple/Bible/création peut aller très loin ! Le soufre est un des principaux éléments nécessaire à la création de la vie. Se poser des questions n’a jamais empêché d’apprécier toutes les composantes d’un film. Il y a un côté très sectaire autour du poète (Fanatisme) plus que religieux. ( Déconnexion /  Comme tu le dis, Mother est une telle allégorie que le propos du réalisateur sur bon nombre de points reste très flou. Mother ou Mère au Québec (hangeul : 마더 ; RR : Madeo) est un film dramatique sud-coréen écrit et réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009. “Le Poète” ne demande que l’admiration des Hommes et les laissant faire les pires pêché ( Forte présence des 7 péchés capitaux). Un ovni qui ne laisse assurément pas indifférent et qui offre une belle base de réflexion sur toute une série de sujets. J’avais saisi le thème « religieux », où j’adhère aussi à la vision du Poète comme le Diable : la photo amenée, qui se transforme à un moment, où il est affublé d’un bouc type Satan. Comme toujours, avant de plonger dans le cœur du récit, il me paraît d’abord important de rappeler tout le déroulé des événements afin de bien comprendre ce qui se joue sous nos yeux. Un point déjà souligné plus tôt par LA FEMME quand elle déclare à MOTHER qu’une mère donne tout à ses enfants mais que ce n’est jamais suffisant. Trois ans après le "blockbuster" religieux Noé, Darren Aronofsky est de retour avec un film plus personnel, Mother!, porté par une sacré brochette de comédiens : Jennifer Lawrence et Javier Bardem dans les rôles principaux, mais aussi Ed Harris, Michelle Pfeiffer, Brian et Domhnall Gleeson et Kristen Wiig.

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